Virée en pleine canicule de Vufflens à Bussigny, avec la mauvaise idée en plus de patauger dans les hautes herbes hors des sentiers battus, si hautes qu’on ne voit pas où on met les pieds — et sans dénicher une jolie vue dans ces sentiers mystérieux, c’est le jeu.
Mais ce fut l’occasion de trouver un joli coin à l’ombre, en face d’une plage baignée par le soleil, avec quelques personnes qui vinrent avec leur chien se tremper un peu dans la rivière.



Au bord de l’évanouissement, j’ai tout de même réussi à faire quelques esquisses, pour essayer de capter la lumière.


Quelques mois après, j’ai tenté de reprendre cette idée, plus précise, mais avec une lumière un chouïa moins chaude.

Pour une fois, voulant garder l’apparence de pure aquarelle, j’ai renoncé à sortir la gouache pour ne pas trop l’utiliser.
À suivre !

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